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Albert Chartrand, un excellent conducteur de traîneau à chiens, s’enrôla dans la GRC en 1926 et fut affecté au détachement qui couvrait l’île Herschel, au large de la côte nord du Yukon, ainsi que l’ouest de l’Arctique. « Frenchy » se tailla rapidement une solide réputation de conducteur de traîneau à chiens et établit des records de distance pendant ses patrouilles. À son décès, alors qu’il était membre de l’équipage du St-Roch durant la traversée historique du passage du Nord-Ouest, deux de ses équipiers firent plus de 1 000 kilomètres en traîneaux à chiens pour lui assurer des funérailles catholiques.

Albert Chartrand

A dog musher par excellence, Albert Chartrand joined the RCMP in 1926 and was posted to Herschel Island, off the Yukon’s north coast, and to the Western Arctic. ‘Frenchy’ quickly gained a solid reputation as a musher and set distance records during his patrols. After he died, while working as a crew member on the ship St. Roch during its historic voyage through the Northwest Passage, two of his friends travelled more than a thousand kilometres by dogsled to make sure Chartrand received a Catholic funeral.

l'hiver title

Mush veut dire conduire des traîneaus à chiens. Le mot mush est en fait une déformation du français « Marche ». Le naturaliste américain Robert Kennicotta a noté durant ses voyages au Yukon et en Alaska dans les années 1860, que les mushers–peu importe leur nationalité–s’adressaient toujours en français à leurs chiens.

Mushing is another term for dogsledding. The word “mush” is a distortion of the French cry “marche!” (“go!”). American naturalist Robert Kennicott observed during his 1860s travels in the Yukon and Alaska that mushers–whatever their nationality–would invariably call to the dogs in French.

Dogteam


hockey

Les Franco-Yukonnais ont fait connaître le hockey bottine au reste du Yukon à l’occasion du festival Sourdough Rendezvous en 1995.

Franco-Yukoners introduced street hockey to the Yukon Sourdough Rendezvous festivities in 1995.

Il ne faut pas sous-estimer l’importance de l’hiver au Yukon. Selon une chanson québécoise bien connue, « mon pays ce n’est pas un pays, c’est l’hiver ». Cette affirmation est encore plus vraie au Yukon. Les Franco-Yukonnais ont saisi cette notion.

One cannot underplay the importance of winter in the Yukon. A popular Québec song states that “our country is not a country it is winter”. This holds even more true in the Yukon. Franco-Yukoners have gladly embraced this notion.

ticket

Bien qu’il fut prospecteur, mineur, pilote de rivière, conducteur et résident de longue date de la région de Mayo, on se souvient surtout d’Émile Forrest pour sa personnalité joviale. Il adorait prendre des photographies et les collectionner. De plus, pour divertir ses concitoyens pendant les longues nuits d’hiver, il présentait des films muets et jouait dans un orchestre. À la grande joie des enfants il construisait des glissades de glace sur les rives de la rivière Stewart.

Snowangels
forrest

Les côtés fanfaron (ci-dessus) et joueur (à gauche) d’Émile Forrest.

Émile Forrest’s ever present light (above) and playful sides (left).

A long-time prospector, miner, river pilot, driver and resident of the Mayo area, Émile Forrest is best remembered for his playful side. Besides taking and collecting numerous photographs, helping everyone while away the winter nights by showing silent movies, and playing in a band, Forrest would build ice slides on the banks of the Stewart River, to the delight of the local children.

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