La « berge du Lac Laberge »
a servi de décor au célèbre poème
de Robert Service, « La crémation de Sam McGee ».
Le lac, qui est le deuxième en superficie au Yukon, a été
nommé en l’honneur de Michel Laberge,
membre de l’équipe d’exploration Collins pour
le télégraphe terrestre en 1867, et l’un
des premiers explorateurs du Yukon. |
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The ‘marge of Lake Lebarge’ was the setting
of Robert Service’s famous poem “The Cremation of
Sam McGee”. The lake, which is the Yukon’s second
largest, was named for Michel Laberge, a member of
the Collins Overland Telegraph survey in 1867 and one of the Yukon’s
early explorers. |
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Quoique les poèmes les plus connus de
Robert Service mettent en scène le Yukon, le poète
a aussi puisé son inspiration aux côtes bretonnes,
en France, où il passa la dernière partie de sa
vie.
While Robert Service set his most celebrated
poems in the Yukon, he found an equal source of inspiration in the seascapes of Brittany, France, where he spent the later
part of his life.
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En 2000, une délégation de jeunes
franco-yukonnais s’est rendue à Lancieux, en France,
où est enterré Robert Service afin de renouer
avec le passé.
In 2000, a delegation of francophone Yukon youth
traveled to Service’s resting place in Lancieux, France
and helped rekindle the forgotten ties. |
Les Canadiens français
faisaient tellement partie de la vie du Klondike que Jack London,
l’écrivain qui donna une renommée mondiale
à la région, basa sa nouvelle Le fils du loup
sur Louis Savard, un Québécois tranquille
et accueillant qui tenait à son accent et dont le chien,
Nig, inspira à son tour le roman L’appel de
la forêt. |
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French-Canadians
were such an integral part of the Klondike scene that Jack London,
the writer who brought international fame to the Klondike, based
his short story Son of the Wolf on Louis Savard,
a quiet and welcoming Québecer who stood firmly by his
accent and whose dog, Nig, in turn inspired the novel The
Call of the Wild. |
D’autres écrivains tels
que Raymond Auzias-Turenne, Léon Boillot, Wilfrid
DeFonvielle et Louis-Frédéric Rouquette
ont décrit leur expérience du Yukon en français.
Bien que leurs récits présentent une image révélatrice
de l’époque, ils ont malheureusement sombré
dans l’oubli. |
Other writers such as Raymond
Auzias-Turenne, Léon Boillot, Wilfrid DeFonvielle,
and Louis-Frédéric Rouquette also penned
their Klondike experience in French. While their works present
an enlightening account of the period, they have regretfully faded
into obscurity. |
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